La qualité du lait doit répondre à des critères très précis, entre autres :
sa teneur en matière grasse et de sa teneur en matière protéique.
la qualité hygiénique et sanitaire du lait de brebis est appréciée en fonction de sa teneur en germes à 30° C et de la présence de résidus d’antibiotiques.
l’absence d’inhibiteurs, de Listeria monocytogenes, de Salmonella spp ;
La teneur en lactose, en immunoglobulines g1, en cellules somatiques
Lors de cette réunion un éclairage particulier fut apporté sur la méthode « CAP CELLULES ».
Il faut savoir que par exemple s’il ya une infection le nombre de cellules augmente. Cette augmentation, à éviter naturellement, peut être provoquée par le stress ressenti par la brebis, comme par exemple le froid ou, plus étonnant par la mise en pâture, pourtant bien utile par ailleurs…
C’est sur l’utilisation de la méthode CAP CELLULES que Myriam Larue et Vincent Desbos technicien au contrôle laitier sont intervenus.
« Le problème des cellules est plus complexe que ce qu’on pensait. CAP cellule ne règle pas tous les problèmes, cependant il s’agit d’un outil intéressant qui permet de bien prendre conscience de la question » confie Myriam.
Les résultats des derniers essais menés au Pradel sur l’incidence de la mise à l’herbe et du traitement du tarissement sur les numérations cellulaires ont été présentés.
Le traitement antibiotique intra mammaire, la désinfection des trayons par trempage en fin de traite furent également abordés .
Le maire est venu saluer les stagiaires qui après le buffet offert par le PEP Caprin se sont rendus à Meyssat chez Myriam et Hubert.